Mon Boris étant bien en main, il faut assurer la relève. Je retire ma fine veste de cuir pour attirer l’attention sur moi (et vu ma tenue je vous assure que ça marche!), et je fais signe aux autres de s’approcher. Tiens, mais ils sont combien ? Neuf, je repère en effet les derniers arrivant. Je n’y vais pas par quatre chemins… – Je lèche les couilles du premier qui pisse dans le cul de ma lope ! Dis-je avec assurance et dans une position des plus provocatrice une main sur la hanche. Et je fais passer mon regard de l’un à l’autre en agitant ma petite langue rose.
Un d’entre eux vient me voir (le premier que nous avons croisé en arrivant dans le bois).
- Je peux aider et lui écarter le cul avec les mains si vous voulez. Me dit-il.
Tiens donc, je ne m’étais pas trompée, voilà un vrai pervers comme j’aime, toujours partant dès que ça devient un peu sale.
Avec plaisir mon chéri. Lui réponds-je en caressant sa queue à travers son jogging (pas vraiment dure, mais pas toute molle non plus, il ne bande sans doute plus très fort, mais il est bien excité).
- Si tu veux tu vas m’aider pendant que je m’occupe de ma lope, tu veux ?
- Oh oui, merci, demandez-moi ce que vous voulez Un porc bien vicelard, tout ce que j’aime, je suis ravie d’avoir trouvé un assistant, c’est toujours pratique.
Pendant ce temps le gros bourrin est toujours en train de déglinguer le cul de Boris. Ce dernier doit être aux anges, depuis le temps qu’il me demandait de l’emmener se faire baiser.
- T’en veux encore hein salope - Tu l’aimes ma bite – T’es qu’un gros enculé de salope – T’es qu’un trou à bites – Quand j’aurai giclé, tu vas nettoyer ma queue avec ta gueule de pute. Et il le pine, il lui frappe maintenant le cul à chaque coup de son membre. Je regarde le peu que je peux voir du visage de Boris, il sourit, il respire le bonheur. Je ne lui ait jamais vu un air si poupin, démonté en règle et aux anges !
Je relance l’assistance
- Qui veut baiser ma lope ? Qui veut lui pisser dans le cul, dans la bouche ? Se branler sur lui ? Profitez-en, c’est sans limites, défoulez-vous personne ne saura jamais ce que nous allons faire ici (tu parles, on est douze…) - Videz vous les couilles, sucez-le, claquez lui la bite, fourrez-lui vos queues dans la bouche, il est là pour ça, il est là pour vous, faites-lui mal, amusez-vous, c’est une trop belle occasion à ne pas rater.
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