LE PARI (MAMAN/FILLE FUTA)

Ma mère, Kendra, se promenait souvent dans la maison sans haut, laissant ses énormes seins couler librement. Ça m'a dégoûté. J'étais sa fille, pas un gars au hasard qu'elle a ramené à la maison un vendredi soir (pas qu'elle a ramené des gars à la maison). Elle ne devrait pas montrer ses seins à sa propre fille.

La plupart des gens pensent que nous, les futas, sommes des fous de sexe, prêts à baiser même nos propres mères et filles, mais ce n'est pas le cas. Eh bien, au moins, la partie inceste ne l'est pas. Oui, nous avions définitivement des pulsions sexuelles assez folles et cela m'obligeait à me masturber plusieurs fois par jour. J'étais bien trop gêné par mon appendice supplémentaire pour essayer de trouver une petite amie ou quelque chose comme ça.

Ma mère, pour sa part, semblait plutôt contente de vivre seule. Mon père était parti une fois qu'il s'était rendu compte que j'avais aussi les gènes de la bite de maman. Pour une raison quelconque, c'était bien pour elle d'en avoir un mais pas pour moi.

Je veux dire, je parie qu'elle se masturbait beaucoup dans sa chambre mais le manque de chatte ne semblait pas la rendre folle. Oh oui, ma mère m'avait dit qu'elle était lesbienne après le départ de papa. Elle ne l'a épousé que parce qu'elle sentait qu'elle devait réprimer ses pulsions mais, une fois qu'il est parti, elle est devenue ouverte sur son désir d'être une mangeuse de tapis.

Elle et moi n'avions pas besoin de travailler après le règlement du divorce. Comme toujours. Nous étions follement riches parce que papa avait été follement riche. Nous avons donc vécu dans une belle maison à deux étages avec deux chambres, un sous-sol et une grande cour clôturée.

Pour vous parler un peu de moi, j'ai dix-huit ans en ce moment. J'ai des seins de taille décente pour mon âge, étant autour d'un bonnet C, mais ils étaient totalement éclipsés par les énormes seins DDD-cup de maman.